Accéder au contenu principal

Doctrine de l'interventionnisme par le travail

Aujourd'hui des milliers de foyers français ne survivent qu'avec les aides de l’État. Une solution pourtant évidente n'a jamais été mise en place pour une raison qui m'est alors inconnue. Pourquoi la société ne prendrait-elle pas en charge la globalité des secteurs d'activité ? Car c'est elle qui sait déterminer les carences de certaines zones géographiques en activités (boucherie, manutention etc).

Cela impliquerait le fait que les aides que touchent les personnes actuellement soient reconverti, en fonction de leur situation (exempt mères isolées et étudiants notamment) et de leurs aptitudes (un CAP maçonnerie ne débouchera pas sur un emploi en couture). La société créerait des pôles d'emplois où les personnes au lieu de toucher de l'argent sans rien faire, créeront de la richesse.

L'Utopie me gagne et le communisme semble m'appeler. Mais il ne s'agit aucunement de répartir les richesses ou d'augmenter les dépenses de l'Etat, mais de les utiliser autrement. Fini l'assistanat place au plein emploi. Combien d'étudiants formés à être cadres pourraient diriger des équipes d'ouvriers tout aussi qualifés ?

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les aventures de Dieu sur terre [2]

Scène 4 : Paul - Et on est où maintenant ? Je commençais à m'y faire à Kimmy. Dieu - L'Australie une de mes créations les plus impressionnantes ! Paul - Pfff. Tu parles, c'est juste un désert peuplé d'étudiants à la con. Dieu - Bah en fait à la base je l'avais créée pour faire un Top 10 des animaux les plus dangereux du monde. Tiens regarde ce cactus. Bah en fait ses aiguilles sont rétractables et détectent la présence d'individu pour s'ouvrir. Paul - Impressionnant ! Et celui là ? Dieu - Bah celui là c'est une pierre. Me dit pas que tu aimes cette fausse science qu'est la géologie. Paul - Aaah, ceci explique cela. AÏE ! Je crois que j'ai été piqué par un truc. Dieu - Fais moi voir ça tas d'ordures. Paul - Mais pourquoi tu appuies dessus ?! Dieu - Parce que c'est drôle. Sinon ne t'inquiète pas, c'est soit rien du tout, soit mortel. Dans les deux cas tu le sauras dans 10, 9... Paul - AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...

La frappe de l'hiver

« Eh voilà Madame, votre chaudière est prête à fonctionner, enfin, je sais qu’on est au mois d’août mais si jamais vous voulez l’essayer vous pouvez toujours. - Merci M. Bernard , je sais que vous êtes un peu fatigué en ce moment, mais je peux vous garantir que cela ne s’en ressent pas du tout sur la qualité de votre travail, dit Madame Petrovicz . - Appelez-moi Paul, il regarda ses chaussures, vous savez, je pense que je suis au meilleur de ma forme physiquement malgré mon âge. Bon, il prit une longue inspiration , je vais devoir m’en aller, passez une agréable journée ». Paul Bernard ouvrit d’un trait son camion et chargea le matériel d’installation de chauffage à gaz pour repartir au plus vite chez lui afin de s’occuper des papiers relatifs à son divorce récent. M. Bernard, était plutôt bel homme, il faisait un peu moins de deux mètres et avait une musculature imposante en raison de son travail fortement physique. Il prenait toujours le temps de se tailler la barbe ...

Courte pièce de théâtre [partie 2]

Scène 3 : Paul - Allo ? Marianne ? Oui je sais que ça fait longtemps qu'on s'est plus parlé. Jamais ? Oui je voulais dire jamais, mais tu sais j'ai eu une révélation. Je sais pas ça m'a fait tout drôle j'ai eu la sensation que je devais t'écrire. Non je ne prends pas de drogue. Et oui je suis sûr. Dis moi ça te dirait que l'on se voit un de ces quatre ? Tu m'envoies tes dates de disponibles par SMS, d'accord. Attends, attends avant de raccroché, t'as pas mon numéro de portable, comment tu vas faire ? Oui, je te l'envoie par SMS. Mais bien sûr que j'ai ton numéro, tu l'as publié l'an dernier sur ton myspace. Bon, bon, à plus tard, on se tient au courant par message. Il raccroche . Ehehe, Dieu n'a pas menti c'est bien la femme de ma vie. Mince, j'aurais peut-être du lui dire qui j'étais. Scène 4 : Dieu - Mais qu'est-ce que tu as fait ? Paul - Bah tu as dit que c'était la femme de ma vie. Je tie...